Une gare. Plus précisément, une petite gare dans une grande ville. [F.G.C.]
Vertiges est un roman choral, un roman qui suit plusieurs axes, plusieurs vies, plusieurs parcours. Lors de sa lecture, j'ai eu l'occasion d'entendre Christian Vézina dans un clip radiophonique s'intitulant
La synchronicité (
à la première chaîne de Radio-Canada. J'ai trouvé là une parenté très particulière avec ma lecture. Était-ce là une manifestation de cette synchronicité?
Elle ne pense pas à ce qu'elle est en train d'écrire. Elle laisse simplement son poignet et ses doigts danser comme ils le veulent. [F.G.C.]
Le français, c'est une lumière de fin d'après-midi dans une cathédrale gothique pendant un récital de clavecin. [F.G.C.]
On lit Vertiges par petites bouchées, par de petites incursions dans des cheminements qui semblent se profiler en parallèle vers l'horizon. On est confronté à des questionnements, à des pulsions, à des vertiges. On est confronté à des tranches de vie qui se superposent et se construisent devant nous pour créer un univers propre à l'auteur, un univers ancré dans la poésie du réel.
Il se soûlera seul sur les syllabes de son texte émergeant. [F.G.C.]
Le soleil se couche quelque part dans le monde. [F.G.C.]
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