Prenez moi, par exemple. (J.P.)Après La traduction est une histoire d'amour, Jacques Poulin récidive. C'est le petit frère de l'écrivain du livre précédent qui est maintenant à l'avant-scène. Il est lecteur. Il lira, entre autres, pour Limoilou, jeune fille dont l'âme est en convalescence. Le décor de cette tranche de vie, c'est la ville de Québec. Ce sont les pentes, les rues et les escaliers de Québec.
Ceux qui cherchent l'aventure et le suspense seront déçus. Ce n'est pas la recette de ce roman, de ce poème en prose, de cette fenêtre sur l'univers personnel de Francis, le lecteur et de son amour des histoires de l'Amérique d'un autre temps, un temps où les Indiens et le français occupaient le territoire.
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