[Archives Juillet 2008]
Au premier jour de l'imprimerie, les livres étaient couramment vendus sans reliure. [T.W.]

quatrième de couverture et quelques entrevues et critiques promettaient tellement plus. J'ai aimé toutefois quelques-uns des passages, quelques-unes des idées, quelques-unes des élucubrations bibliophiles, plusieurs des livres impossibles. Je demeure sur ma faim, mais l'auteur et son imagination débridée m'ont mis en appétit de ces livres dignes de la bibliothèque de Borges.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire