On se ment toujours. [G.D.]On comprend après quelques courts chapitres comment ce livre est devenu un succès. On comprend que l'auteur vient tirer des ficelles qui émeuvent, que l'un et l'autre se projettent dans les personnages simples qu'il met en scène, qu'il démontre un attachement hors du commun pour ces êtres dont il dépeint une tranche de vie.
Oui, j'ai aimé me plonger dans cette histoire simple où Jocelyne Guerbette, mercière, se satisfait de sa vie entre les bobines de fils et son blogue de tricot, entre les six minutes de mémoire de son père et les désirs de ses jumelles voisines, jusqu'au jour où...
Certains y verront l'étalage d'une morale à deux sous, d'autres l'occasion d'un moment d'introspection, j'y ai surtout vu une lecture agréable.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire