[Archives Octobre 2005]
Tu vas commencer le nouveau roman d'Italo Calvino, Si par une nuit d'hiver un voyageur. [I.C.]
Est-ce le signe d'une certaine constance, lecteur? Je débute ce tome 4 de mes excursions dans mes lectures par le compte rendu d'un texte qui aura maintes fois occupé mes soirées et ma table de chevet : Si par une nuit d'hiver un voyageur, lecture fétiche s'il en est. Est-ce la quatrième ou la troisième lecture que j'en fais? J'y ai retrouvé la fraîcheur naïve du Lecteur, la détermination abandonnée de la Lectrice et dix premiers chapitres qui lancent le couple dans une quête des suites des récits amorcés, une quête qui mutera en une réelle recherche du bonheur. Cette nième lecture ne m'aura pas déçu, j'ai plutôt compris encore une fois pourquoi je lis et je relis cette œuvre oulipienne. Je suis dans la même situation que le Lecteur et la Lectrice, je suis envoûté par ces premiers chapitres et, à chaque fois, je m'y engage avec la ferveur de celui qui découvre quelque chose de nouveau, de vert et d'essentiel.
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Sur Rives et dérives, on trouve aussi :
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Calvino | Italo | La journée d’un scrutateur | |
Calvino | Italo | Le vicomte pourfendu |
3 commentaires:
C'est la meme chose pour moi, ma copie est toute souligné
Je pense que je vais la ressortir.
Merci
Gérald.
Heureux que mes quelques commentaires de lectures puissent parfois faire écho chez certains.
...par contre
j'avais manqué oulipienne...
vraiment...merci
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